mercredi 10 septembre 2014

Douce attraction.

Éclatante magnificence, résonnez en un souffle tendre !
Brillez, sombrez, brisez-vous et demeurez.
C'est votre âme que je transcende, crevez à pourfendre.
Une brise puis envolée..
Ne refusez rien des fées.

J'étouffe, je meurs, je respire votre entité entière.
Elle me prend, me marque. Barrière ?
Trop futile, morsures.
Fils marionnettistes, puissiez-vous me guidez à juste allure ?

Fastidieux, trop peu pour un blizzard virant automnale.
Senteur fleurie, extasiez-moi.
Du nuageux, votre regard et ces fils de soie.
Sommeillerez-vous en dernier râle ?

La Lune, la voilà !
De par la Mer, notre belle, voguons à elle de par ses humeurs,
Complémentaires à l'une, lunatiquement lunaires.
Puis atteignons notre prestigieux Ciel,
Ventons ses éclaircies,
Que ses inspirations se consument en notre prochain éclat.

Votre image en résulte parsemée de blancs.
Bien que lumière restante, soufflez encore, plongez en cette douce attraction.
Boum ! Est-il nécessaire en cet absolu de justifier d'un puit sans fond ?

Méprenez-vous encore, trop de soit-disant..



E.J.S { Mad Hatter }.

#13 Sans intérêt.

Moi, Prince d'un Monde Déchu, 
J'en viens aux mots humains.

Que la finalité allègre de mes perceptions préconçues, 
Ce que vous dénoncez "sentiments", 
Vous parviennent de par l'écho allégorique 
Qui rejoint l'abjecte engendrement de cette fichtre civilisation indéfectible.

Avant que la folie raisonnante de mon être ne m'élève à des sommets présomptueux, 
Je vous le demande, et en conjure les cieux, 
Belle avidité insignifiante quand on en conçoit mon ordre inconvenant.

Je ne parjurerais les dires qui reposent sur mon impérissable éternité,
Que dans l'entité abstraite illusionnée de votre étreinte charnelle.

J'en conviens lentement à émettre mon irrévocable soupir, 
Touchant à la fin apathique du substitut de ma conscience.

Sombrez à mes côtés.

E.J.S { Mad Hatter }.

Analyse humaine. #1

Comment puis-je ? Vos actes m'ont permis de réaliser une chose. Non, des tas, en faite. Elles n'ont fait que transparaître par delà votre attitude en ces derniers jours passés dans cet autre Monde. J'en suis encore étourdi, ébahi par tant de dévoilement inattendu, qu'il en faudrait établir toute une dissertation..

Premier point. Vous tentez de cacher votre sensibilité avec une contenance elle-même très fragile, un comportement mondain et des manières futiles. Vous êtes perdu dans tout cela. Votre dite personnalité est difficile à percevoir, dans le cas où c'est une incertitude pour vous-même. Toute cette frivolité vous mène imperceptiblement à une perte proche.

Second point. Votre beauté m'est transparut quand votre faiblesse s'est dévoilée, à l'état brut, à l'état pur, du véritable comme on en fait plus. Elle m'a sublimé. Pourtant de simples larmes.. mais tant de magnificence y transparaissait qu'il me fut inconcevable d'y demeurer insensible.


Dernier point. Les entrailles de votre être ne cessent tellement de se contenir que lors d'un possible craquellement vous imploserez. Purement. Votre nature n'étant pas en convenance avec une éprenance naturelle du lugubre, vous finirez en cendres, à l'égard, en silence.


E.J.S { Mad Hatter }.